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Place De La Chirurgie Ou Le Point De Vue Du Chirurgien

Journal de radiologie(2008)

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Abstract
Connaître les indications et les limites des différents traitements chirurgicaux du fibrome utérin (laparotomie, cœlioscopie et hystéroscopie). Savoir à quel moment la réalisation d’une IRM et la coopération entre radiologues et chirurgiens deviennent nécessaires pour décider du meilleur traitement. Connaître les indications et la procédure des techniques combinées radiochirurgicales. Il existe des cas simples où le chirurgien peut décider seul en consultation du traitement chirurgical (hystérectomie, résection hystéroscopique de fibrome sous-muqueux ou éventuellement cœlioscopie sur myome unique) sans recourir à l’IRM. Dans le cas des utérus polyfibromateux et d’un désir de conservation utérine, la prise en charge devient plus complexe et le recours à l’IRM ainsi que la concertation avec les radiologues est très utile. En cas de désir de grossesse, il faut pouvoir évaluer grâce à l’IRM les risques de complications de chaque technique et connaître leurs effets potentiels sur la fertilité. C’est ainsi qu’une myomectomie sera préférée si elle est simple (ablation d’un à 4 fibromes par exemple) alors qu’une embolisation sera préférée si la chirurgie risque d’être délétère (nombreux fibromes disséminés). La réalisation d’une techniques combinée associant embolisation et myomectomie est dans certains cas une bonne solution pour éviter de choisir entre une polymyomectomie délétère et hémorragique ou une embolisation à risque de complications. Le développement des techniques endoscopiques et de l’embolisation dans la prise en charge des fibromes utérins permet au chirurgien de disposer aujourd’hui d’une gamme thérapeutique plus large qu’autrefois. En dehors des cas où une hystérectomie est indiquée et acceptée par la patiente, la réalisation d’une bonne cartographie par IRM et la concertation entre radiologues et chirurgiens est utile pour décider du meilleur traitement. En cas de fibromes peu nombreux la myomectomie reste le traitement de référence d’autant plus si elle peut être réalisée par cœlioscopie. Au delà de cette limite, et s’il existe des risques opératoires, l’embolisation peut être proposée en première intention. Lorsqu’une embolisation semble préférable à une polymyomectomie la présence de certains fibromes sous-séreux ou sous-muqueux peuvent compliquer la procédure. Dans ces cas, une technique combinée associant une embolisation définitive et une chirurgie peu invasive et sélecti ve sur ces fibromes peut être réalisée.
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Utérus, fibrome
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