Grâce à son lien fort avec les cliniciens, l’équipe mène des programmes de recherche fondamentale et translationnelle centrés sur les carcinomes du sein, de l’ovaire et du côlon visant à identifier les mécanismes d’échappement immunitaire et à développer des stratégies thérapeutiques pour restaurer les réponses immunitaires anti-tumorales. L’équipe a identifié les interactions entre les cellules dendritiques plasmacytoides et les lymphocytes T régulateurs comme une voie d’immunosuppression locale dominante, et caractérisé des cibles pour une intervention immunitaire (ICOS, CD73). L’équipe a récemment initié un axe de recherche pour définir les mécanismes d’immunosurveillance des stades pré-néoplasique qui restent largement sous-explorés. En utilisant à la fois des approches de biologie biaisées et des approches de biologie des systèmes intégrative, l’équipe recherche des mécanismes de détection innée intrinsèque de la transformation cellulaire et des mécanismes de détection extrinsèques propageant l’alerte immunitaire à travers les cellules de l’immunité innée (DC, neutrophiles,…) et adaptatives.